2000 : Brèches

Jacques Calonne remanie son poème Brèches.

1999 : si j’avais dix trous du cul

Jacques Calonne habite 55/5 Place du Jeu de Balle, toujours dans les Marolles à Bruxelles, dans l’ancienne caserne des pompiers. Il interprète le rôle d’un dipsomane chantant dans Si j’avais dix trous de cul, un court métrage de Noël Godin.

1948 : c’est l’heure

Jacques Calonne habite chez ses parents 79 Avenue Van Volxem. Il rencontre André Souris aux concerts du Midi au Musée d’art ancien avec qui il partage le même enthousiasme pour la musique dodécaphonique. Il compose une musique de scène pour José Géal (Toone VIII) alors directeur d’une troupe de théâtre d’amateurs. Il compose des comptines et les montre à son professeur de piano Fernand Quinet, qui l’encourage. Celui-ci enseigne à l’Académie de musique d’Etterbeek (où Jacques Calonne suit également des cours d’harmonie, de déclamation et d’art dramatique). Il demande l’heure à la reine Elisabeth.

1946-1947 : piano et dessin

Sa famille s’installe à Bruxelles. Jacques Calonne séjourne pendant deux ans dans une pension rue aux Laines. Au cours de piano, au Conservatoire royal de Bruxelles, il dessine dans les marges de ses cahiers. Son professeur, le trouvant peu doué, conseille à sa mère de l’inscrire à l’Académie de Bruxelles, en dessin, qu’il suivra dès 1947.

1944 : mélodie de la bombe à caca

Sœur Saint-Augustin de l’école des Sœurs grises de Ghlin lui donne ses premières leçons de piano. Jacques Calonne apprend le contrepoint en autodidacte, en se basant sur le Traité d’harmonie de François-Auguste Gevaert. Il invente la bombe à caca, qu’il utilisera contre le bourgmestre rexiste de Ghlin.

1944 : Rembrandt n’est pas allemand

Jacques Calonne est renvoyé du collège Saint-Stanislas de Mons parce qu’il reprend un professeur jésuite qui affirme que Rembrandt était allemand.

1941 : miroir, joli miroir

Jacques Calonne décide de ne plus se regarder dans un miroir pendant quatre ans.

1940 : convalescence au sanatorium de Buizingen

Jacques Calonne est opéré de l’appendicite en décembre 1940. Suite à « un petit arrangement avec le médecin », il passe un an de convalescence au sanatorium de Buizingen (dont sa tante est la directrice). L’abbé Fierens, le frère d’un sinologue, lui donne des leçons de français et de latin.

1930 : naissance de Jacques Calonne

Naissance de Jacques, Marcel, Jules, Joseph, Ghislain Calonne, à Mons, à la maison, 4 rue des Étampes, le dimanche 10 août, 1h PM, heure d’été, 12h17 min 25 sec pour les astrologues.