Outre une délicate pièce pour piano de Maurice Ravel, dédiée à Léon-Paul Fargue, il existe une myriade de noctuelles, près de vingt-cinq mille espèces à la surface de la terre, semble-t-il, et qu’on appelle un peu plus anonymement des papillons de nuit…
Lire la suite de l’article de Pierre Malherbe pour Le Carnet et les Instants, Revue des Lettres belges francophones.